Celui qui ne craint pas Dieu parce qu’il l’a déclaré mort prendra le risque d’ignorer bêtement ce qui devrait lui faire peur. L’insensé par la multitude d’actes d’injustice qu’il pose accumule pour lui-même des braises ardentes qui ne tarderont pas à le consumer. Ne suivons pas les multiples doctrines de démons qui nous arrivent dans le manteau de la « modernité ». Refusons de suivre les traces de Balaam, qui avait abandonné l’Éternel à cause des richesses du monde. Celui qui se livre à l’immoralité sexuelle et au matérialisme ne peut pas prétendre servir le Dieu vivant. La délivrance est dans le nom de Jésus. Il nous appelle à la repentance.